Cette semaine, c’est au tour de la très élégante Daphné de partager 5 photos de sa journée royale.

Elle a eu lieu le 12 septembre dernier, en Bretagne dans le Morbihan, sous l’objectif d’Anne Letournel.

Je vous laisse avec cette jolie blonde qui va vous parler de tout ça, mieux que moi !

Bon week-end à toutes.

Amélie

Photographe : Ne connaissant pas de photographe, nous sommes tombés sur le site d’Anne Letournel un peu par hasard. Ce que nous y avons vu – son travail, son portrait – nous a plu à tous les deux et nous avons décidé de prendre contact avec elle. Nous l’avons rencontrée trois mois avant notre mariage et le courant est tout de suite passé. Nous avons été séduits par son dynamisme et sa bonne humeur, et il nous a semblé (à raison !) qu’elle comprenait très bien ce que nous attendions d’elle.

Le jour J, discrète et autonome, elle a parfaitement su « diriger » les gens et les groupes (et Dieu sait que ça n’est pas toujours évident !) pour obtenir les clichés qu’elle voulait. Le résultat de son travail a été largement à la hauteur de nos attentes : elle a su parfaitement immortaliser tous les grands moments de notre mariage.

Nous avons eu énormément de retours positifs de nos invités sur les photos que nous leur avons envoyées et nous n’hésiterons pas à faire appel à Anne de nouveau pour d’autres événements ou à la conseiller à notre entourage. On ne pouvait trouver mieux !

Robe de mariée : Comme nous avons décidé de nous marier assez rapidement (6 mois après la demande !), j’ai eu peu de temps pour choisir ma robe. Cependant, je savais exactement ce que je voulais, alors quand je suis tombée par hasard sur LA robe de mes rêves, en cherchant sur Internet, j’ai pris tout de suite rendez-vous avec la boutique. Située à Versailles, Juste un baiser est une petite boutique qui reprend des robes de marques. Il y en a pour tous les budgets. En essayant la robe, j’ai eu le même coup de cœur que sur la photo. Simple, sans dentelle, décolletée devant et dans le dos, avec une longue traine, elle m’a immédiatement séduite. En l’essayant, j’ai tout de suite su que c’était la bonne (même si je pensais ne pas aimer le satin, que j’ai eu un coup de stress quand il a fallu comparer la couleur « champagne » avec le blanc des robes des demoiselles d’honneur, que je me suis demandée si elle irait avec le costume du marié… mais ça c’était après !)

Ma maman m’a rejointe et nous avons fait faire un modèle, ajusté plus tard à ma taille. Cette boutique était super. La jeune fille qui m’a aidée à chaque essayage est devenue une copine. On s’est même échangé nos numéros avant que je reparte avec ma robe sous le bras, quelques jours avant le jour J. Le jour de mon mariage, je portais très peu d’accessoires.

Jusqu’à la dernière minute, j’ai hésité à porter mon voile. J’en voulais un long, le mien était court. En unique bijou, je portais autour du cou un petit collier en or offert par mon amoureux trois mois auparavant pour mon anniversaire.

Maquilleuse-coiffeuse : Ayant une robe décolletée dans le dos, j’avais décidé de relever mes cheveux en un chignon bas, très simple. Comme je me suis mariée juste après l’été, mes cheveux étaient lumineux et je n’ai pas eu à faire de soin particulier. J’avais pris rendez-vous avec la coiffeuse du village, que j’avais rencontrée dans l’été pour des essais (qui d’ailleurs ne s’étaient pas très bien passés…), et une heure à peine avant la cérémonie religieuse, j’étais en short/sandales dans son salon, à me faire coiffer, sous le regard fraternel de ma sœur cadette qui surveillait avec attention le moindre geste de la coiffeuse.

Ma seconde sœur nous attendait à la maison avec blush, mascara et gloss léger pour s’occuper de mon maquillage. Comme je ne me maquille quasiment jamais, je voulais quelque chose de très discret et ma plus jeune sœur s’en est chargée à merveille.

Bouquet de la mariée : Pour le bouquet, je voulais le faire avec mon papa, qui a la main verte, et qui adore surtout jardiner. Tout l’été, il avait entretenu nos hortensias pour faire de beaux bouquets. Nous avons fait ensemble celui de l’église, et celui de la mairie a été fait le matin de bonne heure par maman pendant que je me préparais. Nous avions décidé de composer la totalité de nos bouquets nous-mêmes. En famille, nous avons coupé un à un presque tous les hortensias du jardin pour en faire de gros bouquets à disposer dans la salle.

Etre naturelle et rester soi-même ! De toute façon, le jour de son mariage, on est comme une princesse, au centre de l’attention, et on est de toute façon la plus jolie. Je déconseille aux sensibles comme moi de trop se maquiller, car à un moment ou un autre, les larmes font des dégâts 😉 Pour les photos, une touche de vernis, même transparent, permet d’avoir des doigts soignés…

Merci Daphné.